Vous trouverez ici une sélection d'articles de presse sur l'Aventure de la Machine à écrire et à calculer.
LU DANS LA PRESSE
Dans la presse :
La femme et la machine à écrire il y a cent ans Article de la Nouvelle République du 3 juillet 2014
Le mannequin d’Agathe illustre la secrétaire idéale de 1914 avec les appareils les plus modernes de l’époque, dont l’ancêtre du dictaphone.
L’aventure de la machine à écrire et à calculer propose cet été une exposition sur le travail administratif des femmes pendant la Grande Guerre. Autour d’objets centenaires, machines à écrire, de sténotypie, etc, l’expo décrit l’accès des femmes à ces métiers et leurs conditions de travail dans une société misogyne. Jeanne Sala a reconstitué un bureau d’époque et la « secrétaire idéale » : « On prêtait aux femmes des qualités qui nous font bondir aujourd’hui : disciplinées, propres, organisées, passe encore. Mais un préfet soulignait aussi qu’elles ” n’ont pas d’ambition à trouver un travail mieux rémunéré ” » et ne concurrençaient donc pas les hommes.
Cour de la Préface, entrée gratuite.
Photo : Nouvelle République
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Dans la presse :
Les mécanismes secrets du calcul et de l’Enigma Article dans la Nouvelle République le 12/04/2014
La première a révolutionné le travail des comptables au XIX e siècle. La seconde cryptait les messages de l’armée nazie. Leurs secrets ont été très convoités.
Cloc cloc cloc. 257 X 9 : 2313. Plus d’un siècle et demi après sa fabrication, l’arithmomètre de Thomas tourne encore comme une horloge. Il faut dire qu’à 500 francs-or (environ 10.000 €) les clients attendaient de la qualité, à défaut de comprendre son fonctionnement. Cette belle machine de bois et de laiton n’a plus aucun secret pour Valéry Monnier. Ce collectionneur de région parisienne fait partie de la soixantaine de passionnés réunie jusqu’à ce soir à Montmorillon, par l’association Écriture et calcul. Une bonne centaine de machines à écrire et à calculer, très originales ou ancienne pour la plupart, sont visibles cet après-midi.
L’arithmomètre mis au point en 1820 par Thomas de Colmar fut le premier du genre fabriqué en série et commercialisé, à partir de 1850. « Il a régné sans partage jusqu’en 1890 dans les banques, les assurances, etc, explique le collectionneur (1), puis son principe a été copié par la concurrence, qui a produit des machines plus petites et surtout moins chères ».
Volée aux Allemands
Les secrets de l’Enigma ont aussi été très convoités. On s’est férocement battu pour les dérober et renverser le cours de la Seconde Guerre mondiale. Cette machine cryptait les communications des armées allemandes, avec trois niveaux de codage donnant des milliards de combinaisons pour mélanger les lettres. « 40.000 exemplaires ont été fabriqués, mais les opérateurs avaient ordre de les détruire, il en reste donc assez peu », explique Edmond Kern, collectionneur alsacien de machines à écrire. « Un jour, un ami m’a donné des vieilles machines qui traînaient dans une cave. Quand j’ai vu ce que c’était, j’ai eu des palpitations. »
D’autant plus qu’elle a une histoire surprenante : « Le beau-père de mon copain était garde-forestier, il a volé cette machine aux soldats qui occupaient sa maison et il l’a cachée. » On suppose que le soldat transmetteur délesté de son outil a passé un sale quart d’heure.
Quasiment complète, il y a même encore les petites ampoules de rechange, l’Enigma d’Edmond Kern sera bientôt confiée à un collectionneur autrichien pour être restaurée et remise en état de marche. « Nous pourrons nous envoyer des messages codés », s’amuse Edmond. Amicaux cette fois.
Exposition gratuite, ouverte de 15 h à 17 h 30 uniquement.
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Dans la presse :
Machines à écrire rétro – La touche indus Article dans "Antiquités Brocante" N° 179 de Septembre 2013
Au mois de juin 2013, nous avons eu le plaisir de faire découvrir l’Aventure de la machine à écrire et à calculer au magazine “Antiquités Brocante”. Nous vous invitons à lire le début de l’article ci-dessous. Retrouvez-le en intégralité dans le numéro du mois de septembre.
www.antiquites-brocante.fr
Dans la presse :
Machines à écrire, réveils casques : l’aventure Japy Article dans la Nouvelle République le 02/07/2013
Dix doigts ! Avant de présider l’Aventure de la machine à écrire et à calculer, Jeanne Sala a enseigné le secrétariat sur ces machines Japy.
Le musée de la machine à écrire consacre son exposition d’été à Japy, marque omniprésente dans les bureaux, les écoles, les cuisines et même les tranchées. Continue Reading
Dans la presse :
Ils ont reconstruit une machine à écrire de 1833 Article dans la Nouvelle République le 15/01/2013
Le musée de la machine à écrire possède désormais la réplique d’une des plus anciennes machines connues, grâce au savoir-faire de deux artisans retraités.
Jeanne Sala, présidente de l’association Écriture et calcul, Jean-Pierre Lancereau, ébéniste, et Jean Moreau, ferronnier d’art. A droite, la réplique qui reste à Montmorillon.
La “ plume ktypographique ” n’était sans doute pas très pratique à utiliser. Mais en 1833, cette machine mise au point par un imprimeur marseillais était l’une des toutes premières tentatives abouties de mécaniser la frappe des caractères. Continue Reading
Dans la presse :
Avec le cinéma, sa machine à écrire devient Populaire Article dans la Nouvelle République le 28/11/2012
La Montmorillonnaise Jeanne Sala a prêté une de ses machines à écrire pour le tournage du film Populaire, diffusé ce soir en sortie nationale au Majestic.
Jeanne Sala, présidente de l’association Ecriture et calcul avec l’une des machines utilisées dans le film « Populaire », exposée actuellement dans le hall du cinéma. Continue Reading